G & S Lakhovsky

test et experience de guérison d’un geranium

Expérience de guérison d’une plante avec un circuit oscillant, apllication des circuits oscillants ouverts. (page 179 à 182) la science et le bonheur G. Lakhovsky.

« J »ai indiqué dans les chapitres précédents quel est l’influence des ondes astrales sur les êtres vivants, qui se comportent comme de véritables résonateurs et comment j’ai pu modifier cette influence au moyen du rayonnement d’un oscillateur auxiliaire local, tel que mon radio-cellulo- oscillateur.

Dès le début de mes recherches sur l’oscillation cellulaire, j’ai pressenti que le champ électromagnétique atmosphèrique pouvait être modifié, non seulement grâce à un générateur local susceptible de produire des interférences avec le champ astral, mais encore plus simplement en disposant un circuit résonateur à l’entour du sujet.

Aussi, ai-je repris mon expérience fondamentale de la guérison du cancer des géraniums au laboratoire de la clinique chirurgicale de la Salpêtrière, en substituant au radio-cellulo- oscillateur un simple circuit oscillant entourant la plante à traiter pour assurer la filtration du champ des ondes cosmiques. Le 4 décembre 1924, je plaçai dans les pots séparés une série de géraniums inoculés avec le Bactérium tumefaciens. Au bout d’un mois, lorsque les tumeurs se furent développées, je pris au hasard l’ une de ces plantes et l’entourai d’une spire circulaire en cuivre nu de 25 mm² de section et d’un diamètre D=30 cm ; circuit ouvert dont les extrémités étaient engagées dans un support d’ébonite (fig 34, photo ci dessous).

On sait qu’un tel oscillateur, entièrement isolé dans l’air, vibre sensiblement en demi-onde sur une longueur d’onde fondamentale définie par la longeur double de celle de la circonférence : = 2 pi D =1,885m
L’onde fondamentale de cet oascillateur est donc voisine de 2 mètres.

Après une quinzaine de jours, tous les géraniums inoculés et non traités étaient morts. Seul le géranium entouré de son armature oscillante avait résisté au mal.

Depuis lors, complètement guéri, il s’est développé beaucoup mieux que les plantes non traitées et saines. En juin 1925, il était déjà devenu deux fois plus grand que les géraniums non inoculés qui ont poussé normalement.

trois ans plus tard, le géranium, toujours muni de son circuit oscillant, avait atteint un développement exceptionnel comme en témoignent les photos suivantes, prises à trois années d’intervalle et ramenées à la même échelle. »

Ce texte a été présenté à l’académie des sciences par le professeur d’Arsonval durant la séance du 2 avril 1928.

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