G & S Lakhovsky

histoire de l’O.l.o.m

OLOM , oscillateur à longueur d’ondes multiples

ou Mwo multiple wave oscillateur

Si la thérapie par les circuits oscillants peut se faire avec de simple collier ou des bracelets sur du long terme, l’adjonction de séances avec un OLOM est fortement recommandée. Mr Lakhovsky a commencé ses expériences en 1923 avec un petit appareil le radio cellulo oscillateur (seconde photo à droite ) . C’est vers 1930 qu’il a utilisé prioritairement L’Olom (première photo à droite) qui avait plus de puissance et surtout une plus une large gamme de fréquences.

 

En résumé :

Le principe était que chaque cellule recevant une excitation d’une onde ayant sa propre longueur, puisse ensuite « réaccorder » le corps physique dans son ensemble.

« Les premiers traitements de haute fréquences, imaginés par d’Arsonval et ses contemporains reposaient, sur l’utilisation de courants de hautes fréquences amortis, les seuls que l’on sût produire à cette époque au moyen de l’oscillateur de Hertz det de ceux d’Arsonval, de tesla et d’autres en dérivent. Les progrès réalisés dans la technique des radiocommunications devraient avoir leur répercussion sur celle de l’électrothérapie. lorsque l’on sût construire les oscillateurs à lampes, il ne fut plus question d’abord que d’utiliser en thérapeutique les générateurs à ondes courtes entretenues » (la haute fréquence et ses multiples applications Edition de la radio 1933)

L’olom est né vers 1930 par le fait que Georges Lakhovsky s’était rendu compte que si les « ondes entretenues » avaient l’avantage d’être modulables, les « ondes amorties » elles, agissaient comme « un électrochoc » qui s’adaptait mieux au vivant.
Cet Appareil était constitué d’un émetteur et d’un réflecteur d’ondes (servant aussi d’émetteur secondaire) dont l’éclateur et les circuits d’alimentation étaient enfermés dans un boîtier métallique. Les manettes de contrôle et d’action étaient fixées sur le boitier métallique. Des diffuseurs (12 cercles en cuivres) étaient alimentés par des transformateurs à haute fréquences et montés sur des supports verticaux mobiles.
Le patient se trouvait assit entre les 2 appareils, ensuite l’on envoyait un champ électromagnétique de très haute fréquence. (photo n°1)

L’olom était entré dans la légende………

Aujourd’hui il existe de nombreuses versions issues des travaux de G. Lakhovsky certaines construites selon le modèle de base d’autres, plus évolués disposent de poudres métalliques et minérales en accord avec les théories de JOSEPH SALVAT. (vidéo )

 

En détail :  

1-les applications des courants variables et haute fréquences à la biologie et à la médecine (livre 1)

« L’électricité utilisée souvent sous forme de courant alternatifs et à haute fréquence, a de nombreuses applications en biologie et en médecine. On n’a créé l’électrodiagnostic, l’électrothérapie, l’électrolyse, la diathermie, l’électrochirurgie,…L’électrothérapie parait remontée aux anciens, l’électrobiologie à la découverte de la pile (volta, Galvani…) Magendie pratiqua l’électropuncture. On distingue (en 1937) la galvanisation, la faradisation, la galvano faradisation, la franklinisation et la darsonvalisation qui elle, groupe toutes les méthodes thérapeutiques utilisant des courants à haute fréquence.

Les générateurs thérapeutiques sont à ondes amorties ou entretenues. Parmi les premiers, le plus remarquable parait être l’oscillateur à longueur d’ondes multiples Lakhovsky. Parmi les seconds, le 1er en date fût le radio-cellulo-oscillateur, à lampes triodes montées symétriquement (.) De nombreux types d’oscillateurs ont été étudiés ensuite par Saidman, Cahen, Schereschewsky, Esau, Hallberg, Kohl, Schliephake, et Kotzareff. (..)

Selon les traitements on utilise des oscillateurs de puissance différente. La technique opératoire repose généralement non sur la conduction mais sur l’induction à haute fréquence, le sujet étant placé dans le champ ou entre les armatures d’un condensateur pour des traitements locaux. Le réglage du générateur porte sur l’éclateur, les tensions d’alimentation, les tensions sur les électrodes, les couplages et les divers éléments du circuit oscillant. Le meilleur rendement est obtenu lorsque le couplage est réglé en fonction de la puissance absorbée. (..)

La fréquence utilisée est mesurée au pont de Lecher (= antenne de Lecher) ou à l’ondemètre ; l’échauffement des tissus au moyen d’un couple électrique.

  1. L’électrophysiologie avant la haute fréquence

Les débuts de l’électrothérapie remontent très loin puisque Pline relatait que l’on soignait à son époque les rhumatismes et la goutte par des décharges de poissons électriques. (…) En Europe il semble que Mr Cisternay du Fay (1723-1755) qui a commencé les travaux et une thèse sur l’électrothérapie a été soutenue par JS Deshayes.

L’électrobiologie se développa à la suite de la découverte de la pile par Mr Volta. En 1802, il indiqua aux médecins l’intérêt de sa pile. Un chirurgien en chef des armées Mr Laverine s’en servi pour le traitement des blessés. (……)Plusieurs ouvrages furent publiés au milieu du 19ème sur l’électrophysiologie.  C’est vers 1897 que la radiothérapie vu le jour avec les travaux de mr Kuemmel.

Mr Darsonval « avait montré que les traitements de haute fréquence améliorait la circulation et le métabolisme, la structure de la matière étant, en définitive électronique et ionique (..) » Mr Lakhovsky a confirmé ces travaux par sa théorie de l’oscillation cellulaire.

 

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  1. Les générateurs thérapeutiques d’ondes amorties

 

« La darsonvalisation groupe toutes les méthodes thérapeutiques utilisant les traitements de hautes fréquences c’est-à-dire les fréquences comprises entre 1 mégahertz et 300 mégahertz (.)

Les premiers traitements de haute fréquence, imaginés par Mrs Darsonval et  Tesla, reposaient sur l’utilisation de courant de haute fréquence amortis au moyen de l’oscillateur de Hertz. (…..) Mr Lakhovsky résolut donc de remplacer l’émission des ondes entretenu accordées par celle d’un champ électromagnétique amorti couvrant toutes les longueurs d’ondes courtes et ultra-courtes, depuis 3 mètres jusqu’à l’infra rouge. Ainsi naquit en 1930 l’oscillateur à longueur d’ondes multiples auquel on doit, dans les hôpitaux et cliniques du monde entier, de très nombreuses guérisons de maladies les plus graves telles que le cancer. » (page 256 à 257 livre 1 de 1947)

Cet Appareil était constitué d’un émetteur proprement dit E (figure 201) et d’un réflecteur d’ondes R(servant aussi d’émetteur secondaire). Les circuits d’alimentation et  l’éclateur  étaient enfermés dans un boîtier métallique B. Les appareils  de contrôle et de réglages sont fixés sur le pupitre P. Le champs électromagnétique à très haute fréquence et à très haut gradient de potentiel est engendré par le diffuseur D1, alimenté

Par le diffuseur T1 à haute fréquence et haute tension, monté sur le support vertical S1, qui permet de l’orienter dans la direction et le mettre dans la position voulues. Le réflecteur est constitué comme l’émetteur, avec cette différence qu’il ne comporte pas d’oscillateur. Le sujet est placé entre les diffuseurs D1 et D2.

Figure 201

Le diffuseur est constitué par 12 oscillateurs circulaires concentriques analogues aux oscillateurs de Hertz et isolés les uns des autres par 4 fils de suspension en soie. (la soie étant une matière isolante).

L’oscillateur est branché sur le réseau 110 ou 220 V, 40 à 60 P/s, au moyen d’une prise de courant usuelle. La consommation de courant varie entre 3 et 4 ampère selon le réglage des mâchoires de tungstène de l’éclateur ; elle ne dépasse pas 5 A.

 

Le sujet est debout ou assis sur un siège non métallique, intercalé entre les 2 diffuseurs à 20 ou 30 cm de chacun d’eux, l’index de la minuterie est placé sur le chiffre correspondant à la durée du traitement. l’éclateur est réglé par un bouton à écartement voulu pour obtenir le régime désiré, avec ou sans effluvassion. Pour les applications locales, on peut renforcer l’effet du champ par une électrode auxiliaire. On active le traitement cutané in intercalant entre l’électrode et la peau une compresse humide imbibée de nitrate d’argent à 30 pour 1000. On peut aussi pratiquer un léger étincelage. En cas de tumeur hémorragique, on n’emploi de préférence une compresse imbibée de chlorure de calcium à 50 pour 1000. La durée de chaque traitement varie de 5 à 12 minutes selon la maladie et l’état du sujet. le nombre de séance et leur espacement variant selon les réactions. Ajoutons que ce traitement par haute fréquence ne présente aucun danger, ni pour le sujet ni pour le praticien. »

 

Figure 202

  1. Traitements par les traitements à hautes fréquences (en cours)

 

2-les applications (livre 2) (en cours)

 

3-Interview de Guy thieux au sujet de Georges Lakhovsky : 

 

oscillateur à longueur d’ondes multiples de Georges Lakhovsky

Olom de 1946 (image collection privée G.T. )

séance d’olom

Où trouver des séances l’OLOM

où trouver un fabricant sérieux : nous contacter  ou au 03 85 82 47 71 du mardi au samedi de 14h30 à 18h30

REMERCIEMENTS

 

A M et Mme Guy Thieux et à M. Jean Dautel pour les documents, les informations et les appareils

aux auteurs des livres qui nous ont inspiré pour cette page :

le secret des patriarches de Marcel Violet, oligo éléments et oligothérapie du docteur Claude Binet, radiesthésie et émission de forme de Jean Pagot, équilibre psycho biologique et oligo éléments de Pfeifer et Gontier, les oligo éléments du docteur M Moatti, logique thérapeutique des oligoéléments et remèdes en lithothérapie du docteur burno Brigo, la haute fréquence et ses multiples applications de Adam Michel de 1947(livre1), radiation et ondes éditions sacl 1937 ( livre 2)

AVERTISSEMENT

 

 les sociétés et laboratoires Colysa de monsieur Georges et serges  Lakhovsky ont cessés toutes activités sucessivement les 16/10/1979 et 16/4/2003

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